C’est sous le thème Ce que l’art permet que se tenait cette année le 5e colloque en étude de la pratique artistique (EPA), les 29 et 30 mai 2021. Treize étudiantes invitaient le public à découvrir leur point de vue, leur processus et leur recherche en création. L’artiste-chercheure Sylvie Cotton s’est jointe à elles à titre de conférencière invitée.
Les présentations étaient retransmises en direct via zoom et il est possible de les visionner en tout temps. Le collectif Les Ateliers de l’œuvrement était heureux de soutenir cette activité.
L’ art a véritablement un pouvoir; il impose autant qu’il s’impose. Dans les contextes les plus inspirants ou les plus contraignants, l’art trouve en effet une voie. Qu’il appelle transformation, grâce, sensibilité, révélation; qu’il anime l’être et les foules dans des situations de crise ou d’injustice, l’art offre une fenêtre singulière sur le monde et sur la condition humaine qui semble inaccessible aux autres domaines de connaissance.
Depuis sa création en 2012, le programme court de 2e cycle en étude de la pratique artistique de l’UQAR fait preuve d’audace sur l’échiquier des formations du domaine des arts. Sa singularité se manifeste autant dans la philosophie d’enseignement axé sur la réflexivité et l’ouverture que dans le colloque qui représente le point culminant du cheminement académique. Il vous est d’ailleurs possible de découvrir les colloques antérieurs sur le site https://colloqueepauqar.wordpress.com/
Programme complet du colloque 2021, Ce que l’art permet